d’interprétation du patrimoine offerts aux visiteurs, ces infrastructures contribuent largement au maintien de l’attrait touristique majeur des grottes, partant, à la création de revenus importants qui sont utilisés pour la gestion du Parc régional. De plus, une partie de ces revenus est distribuée aux habitants de la région pour l'entretien de l'architecture karstique typique et du paysage culturel. Ainsi, outre son propre développement, le Parc a investi entre 1999 et 2011 plus de 430 000 € tirés de ses propres revenus dans des actions portant sur les bâtiments, l’infrastructure et l’embellissement des trois villages situés au sein de l’aire protégée. Au nombre des principales attractions
7. Établir des partenariats stratégiques entre les Parties contractantes et, si possibles, les Parties non contractantes, afin de partager les expériences et d'échanger les meilleures pratiques en matière de gestion des zoneshumides aux niveaux national et transfrontalier, et à mettre à profit ces expériences pour encourager les États qui ne sont pas encore Parties contractantes à la Convention à le devenir ;
14. RAPPELANT que la Conférence Rio+20 (Brésil 2012) souligne qu’un tourisme bien conçu et bien géré peut contribuer de manière significative au développement durable, reconnaît qu’il convient de soutenir les activités de tourisme durable et un renforcement approprié des capacités, encourage également « la promotion d’investissements dans le tourisme durable » et insiste sur le fait « qu’il importe de définir, le cas échéant, des directives et des règlements répondant aux priorités nationales, ainsi que des dispositions visant à promouvoir et à favoriser ce type de tourisme »;
68. Par exemple, l’annexe à la Résolution X.17, en fournissant des avis sur les évaluations d’impact sur l’environnement, observe : « Une action corrective peut prendre plusieurs formes, c’est-à-dire l’évitement (ou la prévention), [l’atténuation] (en considérant les changements de l’échelle, de la conception, de l’emplacement, de l’implantation, du processus, de la phase, de la gestion et/ou du contrôle de l’activité proposée, ainsi que la restauration ou la réhabilitation des sites) et la compensation (souvent associée aux impacts résiduels après la prévention et la limitation). Une ‘approche de planification positive’ doit être utilisée, où l’évitement prévaut et la compensation est utilisée en tant que mesure de dernier recours. Il faut reconnaître que la compensation ne sera pas toujours possible : dans certains cas, il est approprié de rejeter une proposition de développement pour des raisons de dommages irréversibles ou de perte irremplaçable de la diversité biologique. »
Pour une liste des documents requis pour une demande de visa et un exemplaire du formulaire de demande de visa, consultez les documents de la réunion. Veuillez, toutefois, noter que vous devrez obtenir ces documents de l’ambassade du Cameroun dans votre pays car l’information requise peut varier de cas en cas. Pour les besoins de la demande de visa, il est conseillé aux participants de citer le ministère de l’Environnement et de la Protection de la Nature lorsque qu’ils devront fournir des informations sur leur adresse dans le pays hôte (voir, plus haut, le paragraphe intitulé Organisation de la réunion : qui contacter).
4.1 État des inventaires des zoneshumides. Préparer un rapport résumé actualisé sur l’état des inventaires des zoneshumides à l’échelon mondial et régional qui fera référence, le cas échéant, entre autres, à la mise à jour de l’Étude mondiale des ressources en zoneshumideset priorités d’inventaire des zoneshumides (GroWI-2), au Partenariat de Type II du SMDD avec la FAO-GTOS, à la diffusion sur le Web d’inventaires et de répertoires régionaux et d’autres collaborations pertinentes, en particulier avec les agences d’observation de la Terre et comprenant des recommandations appropriées sur les méthodologies, les lacunes dans la couverture, l’harmonisation, la sensibilisation et l’échange de connaissances.
16. INVITE les Parties contractantes, les Organisations internationales partenaires (OIP), les ONG, les organisations scientifiques et techniques compétentes et les associations industrielles à partager des informations, des orientations et des études de cas pour gérer les effets spécifiques des activités du secteur de l’énergie sur les zoneshumides (par ex. le Protocole d’évaluation sur la durabilité de l’hydroélectricité, adopté lors du Congrès mondial de l’hydroélectricité, qui s’est déroulé à Iguaçu, au Brésil, en 2011) et des études sur la collaboration régionale et transfrontière pour la planification et la mise en valeur de l’énergie qui soient conformes à l’utilisation rationnelle des zoneshumideset mettent en évidence les différences en matière de politiques énergétiques et environnementales de chaque Partie, et les services énergétiques transfrontaliers que produisent les zoneshumides, et DEMANDE au Secrétariat de compiler cette information et de la diffuser largement.
iv) le coût et la durée de l’étude doivent être pris en considération, les travaux du comité d’étude doivent être focalisés et celui-ci doit utiliser des méthodes de travail rentables afin que ses activités soient maintenues dans des limites raisonnables pour un coût minimal. Les présidents du Comité permanent, de son Sous-groupe sur les finances, du Groupe de travail sur la gestion, et du GEST, avec le Vice-président du Comité permanent, doivent examiner les postes budgétaires correspondant au GEST afin de les réorienter, au besoin, vers la mise en œuvre de la présente Résolution.
22. ACCUEILLE FAVORABLEMENT les Principes pour la planification et la gestion des zoneshumides urbaines et périurbaines figurant en annexe à la présente Résolution, RECONNAÎT que les « Principes » peuvent aussi s’appliquer à la planification spatiale et à la gestion en zone rurale, le cas échéant, et PRIE INSTAMMENT les Parties contractantes et autres gouvernements d’agir en s’appuyant sur ces Principes, de les communiquer à d’autres parties intéressées (y compris en les traduisant dans les langues locales) et de s’efforcer de les faire appliquer par les secteurs et paliers de gouvernement responsables de la
10. Dans la Résolution X.25, la Conférence des Parties i) demande aux Parties de réaliser des EIE et des EES pour évaluer les impacts, avantages et risques potentiels, y compris en cas de drainage, des projets de culture pour la production de biocarburants affectant des Sites Ramsaret autres zoneshumides, et ii) prie instamment les Parties de « s’assurer que toute politique d’utilisation de cultures pour les biocarburants tienne compte de la gamme entière et des valeurs des services écosystémiques et moyens d’existence fournis par ces zoneshumides ainsi que de la biodiversité qu’elles entretiennent, sans oublier les compromis à faire entre ces services dans l’analyse coûts-bénéfices et d’appliquer, le cas échéant, le principe de précaution défini dans le Principe 15 de la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement ».
Les écosystèmes des zoneshumides sont souvent fragiles et faute de prendre des mesures de contrôle dignes de ce nom, il existe toujours un risque d’impacts négatifs du tourismesur les habitats des zones humi- des, leurs animaux et leurs plantes ainsi que sur les communautés locales qui dépendent parfois de la zone humide pour leurs moyens d’existence. Beaucoup d’entre nous connais- sent bien le côté négatif d’un tourisme non contrôlé : les dommages causés aux récifs coralliens par l’amarrage sauvage des em- barcations de plongée ou par des guides de plongée et des plongeurs mal formés; les ef- fets du piétinement par un taux de visiteurs non contrôlé dans des habitats sensibles comme les tourbières, entraînant par exem- ple une érosion; la perturbation excessive des populations d’oiseaux nidificatrices, et ainsi de suite. La liste est longue, en particu- lier dans les zones côtières et la publication de l’OMT Manuel de gestion de la saturation touristique des sites naturels et culturels (2004) regorge de suggestions sur « la ges- tion opérationnelle de la congestion ». Il y a aussi de nombreux exemples d’impacts négatifs sur les communautés locales lors- que le développement du tourisme exclut les usagers locaux de la zone humide en faveur des touristes, causant ainsi des impacts sur les moyens d’existence locaux et l’on connaît des cas déplorables où le tourisme à l’inté- rieur et autour des zoneshumides a apporté des avantages économiques considérables à l’industrie touristique nationale et inter- nationale, ne laissant que des miettes aux collectivités et aux communautés locales qui sont responsables de la gestion de la zone humide et qui en dépendent parfois. Le tourisme en dehors des zoneshumides peut aussi avoir des impacts négatifs sur les zoneshumides elles-mêmes. Le pompage de l’eau dans les rivières et les aquifères qui maintiennent le régime hydrologique de la zone humide pour la consommation, l’assai- nissement et l’irrigation nécessaires aux éta- blissements touristiques, la surexploitation du poisson et des coquillages pour fournir les hôtels et les restaurants, l’élimination non réglementée des déchets et, parfois, le déversement d’effluents dans les zones hu- mides ne sont que quelques exemples des dommages que peut causer le développe- ment touristique aux écosystèmes de zoneshumides continentaux et côtiers. La plupart des lecteurs connaissent sans doute des exemples d’impacts de ce type.
aujourd'hui, pour commémorer la signature de la Convention sur les zoneshumides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar. «Le tourisme dans les zoneshumides : une expérience unique », est le thème de cette journée, célébrée sous le slogan « le tourisme responsable, tout bénef pour les zoneshumideset les populations». La cérémonie officielle aura lieu aujourd'hui, au centre Cynégétique de Réghaïa, sous la présidence du secrétaire général du ministère de l'Agriculture et di Développement Rural, Sidi-Ahmed Ferroukhi.Au menu, de nombreux événements, découverte et sensibilisation du public sur les zones
conformément au barème de contributions des États membres au budget des Nations Unies qui a été approuvé par l’Assemblée générale des Nations Unies qui, pour celles qui ne versent que des contributions volontaires, est appliqué à titre indicatif et sauf dans le cas des Parties contractantes qui, en application du barème de l’ONU, pourraient verser au budget de la Convention de Ramsar des contributions annuelles inférieures à CHF 1000, auquel cas leur contribution annuelle sera équivalente à ce montant.
25. Occupation actuelle des sols (y compris l’eau) : les principales activités humaines dans a) le Site Ramsar lui-même et b) les environs et le bassin versant. Donnez des informations sur la population de la région et une description des principales activités humaines et formes d’utilisation des terres et de l’eau dans la zone humide, par exemple l’apport d’eau pour les besoins domestiques et industriels, l’irrigation, l’agriculture, le pâturage, la sylviculture, la pêche, l’aquaculture et la chasse. Mentionnez également ici les activités et utilisations relatives à la recherche, à l’éducation et aux loisirs/ tourisme dans le site mais précisez celles-ci dans les rubriques 29, 30 et 31, respectivement). Il importe de préciser, dans la mesure du possible, certaines notions de l’importance relative, de l’échelle et des tendances de chaque utilisation des terres et de l’eau. N’oubliez pas de noter si les activités ou utilisations sont limitées à certains secteurs du site (p. ex., dans une partie seulement d’un grand site ou dans des zones particulières ou dans des types de zoneshumides particuliers.) Sous b), résumez les utilisations de la terre et de l’eau, dans les régions entourant le site et dans le bassin versant, qui pourraient directement ou indirectement affecter l’état de la zone humide inscrite, ainsi que toute utilisation des terres dans les régions qui se trouvent en aval et qui pourraient être affectées par la zone humide. Pour d’autres références sur l’utilisation de l’eau, voir les Lignes directrices pour l’attribution et la gestion de l’eau en vue du maintien des fonctions écologiques des zoneshumides adoptées dans la Résolution VIII.1 ; la Résolution IX.1 Annexe C (Cadre intégré pour les orientations de la Convention de Ramsar relatives à l’eau), Annexe Ci (Gestion des bassins hydrographiques : orientations additionnelles et cadre pour l’analyse des études de cas), et Annexe Cii (Lignes directrices pour la gestion des eaux souterraines en vue de maintenir les caractéristiques écologiques des zoneshumides).
Parallèlement, la conduite hors piste des jeeps et leur passage sur les pâturages provoque un compactage du sol et endommage la végétation, d'où une diminution de la productivité et une exposition de ces sols fragiles à l'érosion. On rapporte également des cas de jeeps utilisées pour poursuivre des kiangs et d'autres espèces. Il s'ensuit que globalement, le tourisme non régulé constitue l'une des plus grandes menaces qui pèsent sur Tsomoriri.
des interactions entre les zoneshumideset la santé (Healthy wetlands, healthy people: A review of wetlands and human health interactions ) qui fournit une étude conceptuelle des relations entre la gestion des zoneshumideset la santé humaine et montre que l’utilisation rationnelle des zoneshumides va bien au-delà deaméliore la fourniture de services écosystémiques et peut aboutir à des résultats et avantages spécifiques et démontrables pour la santé, et NOTANT AVEC SATISFACTION que ce rapport a été préparé et publié conjointement avec l’Organisation mondiale de la santé de sorte que les informations et les avis qu’il contient s’adressent aussi bien aux praticiens du secteur de la santé qu’à ceux du secteur de la gestion et de l’utilisation rationnelle des zoneshumides;
des interactions entre les zoneshumideset la santé (Healthy wetlands, healthy people: A review of wetlands and human health interactions ) qui fournit une étude conceptuelle des relations entre la gestion des zoneshumideset la santé humaine et montre que l’utilisation rationnelle des zoneshumides améliore la fourniture de services écosystémiques et peut aboutir à des résultats et avantages spécifiques et démontrables pour la santé, et NOTANT AVEC SATISFACTION que ce rapport a été préparé et publié conjointement avec l’Organisation mondiale de la santé de sorte que les informations et les avis qu’il contient s’adressent aussi bien aux praticiens du secteur de la santé qu’à ceux du secteur de la gestion et de
d’informations et aux rapports sur les Sites Ramsar, tant au moment de leur inscription que lors de mises à jour ultérieures, en particulier pour les pays qui ont des capacités limitées ou des contraintes économiques et, en conséquence, de la nécessité de faire en sorte que les obligations de rapport soient considérées hautement prioritaires, simplifiées et efficaces;
LPO Loire : sortie découverte des oiseaux d'eau des étangs et de la boucle de la Veauchette. Cette zone inondable présente une forte diversité de paysages : roselières, boisements humides, mares, pelouses sèches... Ceux-ci se dégradent, ce qui a pour conséquence la perte de leurs valeurs écologiques. Sur ce site, les objectifs de la LPO Loire sont de restaurer les caractéristiques naturelles de ces milieux et maintenir la mosaïque d'habitats. Ces actions permettraient d'assurer le développement et le maintien d'une faune et d'une flore remarquable, et aussi de conserver les divers rôles que jouent les zoneshumides pour l'homme. RDV à 14h sur le parking de la mairie de Veauchette (42).
Les forêts UTILISENT l’eau et elles en uti- lisent plus qu’une végétation plus courte (comme les prairies) parce que leur taux d’évaporation est plus élevé. Cependant, les sols forestiers ABSORBENT et RETIENNENT facilement l’eau, enlevant une partie du ruissellement de surface du système hydrologique mais avec cette eau, les forêts produisent de nombreux biens utiles comme mentionné plus haut. Les forêts freinent aussi l’érosion des sols de sorte que l’eau stockée est de meilleure QUALITÉ : on considère que le maintien d’une bonne couverture forestière sur les bassins versants boisés est le mécanisme le plus efficace pour réduire l’apport excessif de sédiments dans les zoneshumides d’aval. Il importe aussi de noter que beaucoup d’utilisations des terres (comme l’agriculture, l’urbanisation et le